Boston, Paris, Bruxelles. Un miraculé américain survit aux 3 attentats
Jeudi 24 mars 2016 à 08:03.Déjà présent à Boston lors de l'attentat du marathon en 2013 et à Paris le 13 novembre 2015, Mason Wells, 19 ans, a été blessé dans l'explosion à l'aéroport de Bruxelles.
C'est ce qu'on appelle avoir la guigne... ou de la chance. Mason Wells, jeune américain de 19 ans, était à l'aéroport international de Bruxelles, ce mardi, lors de l'explosion. Il a été sévèrement brûlé au visage et l'un de ses tendons d'Achille a été atteint, mais il a survécu... à son troisième attentat.
Car le jeune mormon était également présent lors de l'attaque du marathon de Boston en 2013 et à Paris, le 13 novembre 2015. Pour les médias, Mason Wells est donc le candidat idéal, le parfait miraculé. Son histoire fabuleuse, racontée par son père, Chad Wells, fait d'ailleurs le tour du web depuis ce mardi soir.
Salut #MasonWells. Tu veux qu'on joue ensemble à l'Euromillion vendredi? tu peux choisir les chiffres #Bruxelles https://t.co/TBVRE71jc7
— Charlyescp (@Charlyescp) 23 mars 2016
Et si Daesh ne voulait en fait que la peau de ce mec ? #MasonWells https://t.co/Qdwe5UReye
— Cécilia (@cecilia_Fun_way) 23 mars 2016
Mason Wells, l'ado qui a survécu aux attaques de Boston, Paris & Bruxelles.. #ChatNoir #DestinationFinale pic.twitter.com/jRsT8WCUQs
— Jane (@Janedoe783) 23 mars 2016
« C'est un miracle qu'il soit encore en vie »Mardi, Mason faisait ainsi parti des trois mormons venus accompagner à l'aéroport de Zaventem une missionnaire en partance pour les États-Unis et a été « très proche des terroristes au moment de l'explosion ». Le 15 avril 2013, il était avec son père à Boston pour soutenir sa mère qui participait au marathon. Heureusement, les charges déposées par les frères Tsarnaev n'ont fait que les « secouer ».
Et en novembre 2015, le jeune homme était, dit-il, présent à Paris au moment des attentats, loin toutefois des lieux frappés par le kamikazes. « C'est un miracle qu'il soit encore en vie », confie aujourd'hui son père, qui précise que Mason est « un costaud » que « l'expérience de Boston » a « aidé à rester calme ».
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