Apparemment, l’affaire Snapchat n’en est qu’à ses débuts. Alors que Facebook tente de prendre possession du petit réseau social sans y parvenir, Google entre dans la partie avec une offre de 4 milliards.
Les deux jeunes fondateurs de Snapchat vivent actuellement une expérience hors du commun. À seulement 25 ans, Evan Spiegel et Bobby Murphy, deux anciens de Stanford, ont créé en 2011 un réseau social vraiment original. En plein débat sur le droit à l’oubli et les données personnelles, ils innovent avec un service sur lequel les messages (textes ou images) disparaissent quelques secondes après avoir été consultés.
Et l’idée séduit d’abord les plus jeunes. En septembre dernier, le réseau attirait déjà 350 millions d’abonnés. Autant de personnes qui risquent de ne plus beaucoup se rendre sur d’autres réseaux sociaux.
Pour Facebook, cette nouvelle méthode est un danger, d’autant qu’elle risque de se développer. Et, pour contrer cette menace, Mark Zuckerberg a employé sa méthode habituelle : une offre de rachat qui ne se refuse pas. Le jeune patron a d’abord proposé un milliard de dollars, soit le montant offert à Instagram. Snapchat a refusé. Une deuxième offre à 3 milliards a encore été rejetée par les deux associés.
Ces refus perturbent le business des high-tech
Après ces refus, les concurrents de Facebook ont trouvé un moyen de le déstabiliser en faisant monter les enchères. Après une offre à 4 milliards du chinois Tencen, c’est au tour de Google de faire passer des nuits blanches à Zuckerberg.
The Verge révèle un bruit qui circule dans la Silicon Valley depuis quelques jours. Google chercherait aussi à s’emparer de Snapchat avec une offre à 4 milliards. Le but du géant est de contrer Facebook, mais aussi de faire l’acquisition d’un réseau social établi est dans l’air du temps.
Toujours selon l’article du site américain, Evan Spiegel a encore une fois rejeté cette offre exceptionnelle. Ces refus alimentent désormais les discussions en Californie. Certains évoquent déjà un coup organisé avec Facebook pour faciliter la prochaine levée de fonds de Snapchat qui devient délicate sans un modèle de monétisations. Parfois, la Silicon Valley fait penser à Dallas et son univers impitoyable.
À moins que les deux jeunes associés aient des ambitions plus grandes que de se faire racheter pour devenir riches. En tout les cas, une chose est sûre. Ces refus perturbent le milieu des high-tech peu habitué à faire la fine bouche devant des centaines de millions. Le refus de plusieurs milliards peut en effet sembler étrange.
Le feuilleton se poursuit donc et, comme dans une série télévisée, l’épilogue est attendu avec impatience. Peut-être aussi avec inquiétude face à un risque d’explosion d’une bulle.
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